Les orgasmes ainsi ruinés sont très frustrants, très peu satisfaisants, voire frustrants. Ils sont souvent liés à d’autres pratiques comme la chasteté masculine, le taquinement, la traite de la prostate.
Il existe plusieurs variantes du déni d’orgasme ou ruiné, la plus fréquente restant l’abandon ou l’homme à la limite du point du non-retour est abonné, privé de brusquement de toutes stimulations ce qui va provoquer contraction et débattement du pénis. L’éjaculation aura bien lieu, le manque de stimulation manuelle menant alors à un orgasme partiel et très loin d’être satisfaisant.
Une autre méthode est également prisée, l’abandon et la distraction, elle rejoint la précédente avec une variante après la stimulation comme une influence distrayante, des douleurs aux testicules, aux tétons ou des commentaires dégradants.
Certains optent également pour la technique dite du bouchon qui consiste à bloquer le flux de sperme en bouchant la sortie sur le gland au niveau de l’urètre.
La technique très certainement la plus frustrante reste celle du « Dutching », totalement déstabilisante et douloureuse pour l’homme. A l’ instant où le méat du gland va s’ouvrir pour libérer le sperme, une sonde urétrale va être introduite. Attention à cette pratique qui demande hygiène et dextérité.
Enfin, la technique de la pleureuse, très humiliante, la stimulation cette fois va cesser avant le point du non-retour, un peu de sperme sera libéré, mais l’homme restera à quelques encablures de l’orgasme. L’opération sera répétée jusqu’à épuisement de la semence, pour enfin un orgasme à sec très douloureux.
A vous de choisir maintenant et faites jouer votre imagination…