Dans certains jeux BDSM, la pratique du Face Sitting peut être exécutée avec certains objets, un des deux partenaires pourra être également attaché, menotté pour pointer d’avantage la domination et pimenter la relation dominant, dominé…
Certains adeptes pratiquent également le Face Sitting en y intégrant la scatophilie et l’urolagnie.
La contrainte, la pression ainsi exercées par le corps, la moiteur et l’humidité des organes génitaux, l’odeur de l’anus et le noir absolu peuvent être appréhendés comme sexuellement particulièrement captivants dans le cadre du bondage, le partenaire soumis se retrouvant ainsi supplicié si bien physiquement que moralement. Au cours du jeu le dominant peut également uriner, une action qui très souvent va démultiplier le plaisir du soumis.
Notons que le Face Sitting n’est pas l’exclusivité de l’univers du BDSM, toutes les tendances, variantes sexuelles réunies (hétéros, gays, lesbiennes) pratiquent le Face Sitting qui semble réunir tous les suffrages.
Il y a plusieurs façons de le pratiquer, l’imagination des partenaires pourra faire varier alors les pratiques.
Cette position pourra devenir un préliminaire calé entre d‘autres pratiques plus classiques au beau milieu d’un rapport traditionnel ou constituer à elle seule un rapport sexuel ou bien encore s’intercaler dans un jeu de rôle.