Bien sur ce contrat n’a pas de valeur légale et lorsqu’une des deux parties ne voudra plus s’y plier, elle pourra sans risque de poursuites quitter le jeu de soumission.
Que doit-on mettre dans le contrat ?
• L’attitude du soumis : de manière générale la façon de parler, de se comporter…
• La façon de s’amender pour le soumis : vêtements, couleurs, parfums, épilation…
• Les endroits de séances : Définir le terrain de jeux, un endroit, extérieur, intérieur…
• Le désir des deux parties : Détailler ce qui pourra se produire durant les séances.
• Le rapport au plaisir : C’est un point clef dans le contrat, il va être défini clairement le niveau du plaisir pour le soumis, orgasmes, chasteté, masturbation…
• Les limites : Encore un chapitre important dans la relation de soumission, il va être défini les instants de liberté d’expression, ce que le soumis accepte, les limites de la douleur, dans le temps, les punitions qui seront infligées en cas de faute ou de refus.
Pour lui donner des airs plus officiels et le pimenter, il est possible de rédiger le contrat comme s’il avait une valeur juridique, des dates, des noms, des signatures, souvenez-vous du film « 50 nuances », le contrat a bien cette forme.
Certains adeptes diront que le contrat met des barrières à la relation de soumission, gâchant l’effet de spontanéité dans le jeu.
C’est à vous de voir…